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L'habillement à l'Âge Viking

Sommaire

Préambule

Les matières et les couleurs

La confection

Les vêtements des femmes

  • La chemise ou sous-robe (serk)
  • La robe
  • La robe-tablier ou robe suspendue (smokkr)
  • Le châle
  • Les accessoires

Les vêtements des hommes

  • La chemise de corps
  • La blouse ou tunique
  • La culotte
  • La cape et le manteau
  • Les accessoires

Les chaussures

Les bijoux

  • Les amulettes
  • Les fibules
  • Les perles

Préambule

Il est rare de découvrir des vêtements de la période viking. Seules de petites pièces de tissu conservées dans les sépultures d'individus appartenant le plus souvent aux couches supérieures de la société ont été découvertes. La reconstitution des tenues vestimentaires de l'époque est donc complétée par d'autres sources telles que les représentations sur les amulettes, les pierres historiées de Gotland, les tapisseries (Oseberg, Bayeux...), les statuettes et les récits dans les textes historiques.

Comme les hommes et les femmes d'aujourd'hui, la tenue variait selon le sexe, l'âge, le statut social et probablement le lieu. Les vêtements ordinaires, pantalon et tunique pour les hommes, robe et tablier pour les femmes, étaient réalisés à partir des matières locales à disposition, comme la laine et le lin, tissées et parfois teintées.

Pièces de soie découvertes dans la sépulture d'un homme à Mammen. Photo du Musée National du DanemarkLa confection des vêtements était la prérogative des femmes. Cependant, certains textiles étaient importés comme le démontrent des pièces de tissu mises au jour dans des tombes de riches personnages. Les classes supérieures de la société affichaient leur fortune en se parant de soie et de fils d'or en provenance de terres lointaines comme l'empire byzantin. 

Si l'habillement se caractérise avant tout par le confort et la praticité, tous les témoignages historiques indiquent que les Vikings accordaient une importance certaine à leur apparence. Les vêtements ont pu être repassés à l'aide de pierres plates chauffées comme le suggère plusieurs découvertes archéologiques. Enfin, les Vikings complétaient souvent de manière ostentatoire leur tenue avec des bijoux.

 

Les matières et les couleurs

Les matières

  • Le lin représente environ 40% des découvertes de tissu de l'Age Viking. Il devait donc non seulement être un produit phare du commerce mais également faire l'objet d'une culture importante pour la conception des vêtements. Plusieurs sites au Danemark prouvent que le lin était produit à ??une échelle quasiment industrielle durant cette période. ?La recherche a démontré que plus de 20kg de plantes de lin étaient nécessaires afin de produire suffisamment de matière pour réaliser une seule tunique. En outre, du moment où le lin était semé jusqu'à ce que la tunique soit cousue - ce n'est pas moins de 400 heures de travail qui étaient nécessaires.

=>  Le chanvre et l'ortie sont les autres fibres végétales couramment utilisées pour la confection textile en Scandinavie.

 

  • La laine, cardéefilée et tissée pour obtenir une toile appelée vaðmál, était utilisée non teinte, dans toutes ses couleurs naturelles qui s’étalent du brun au noir en passant par le gris, pour les vêtements de tous les jours, les vêtements de travail ou de voyage. Cette fréquence des vêtements non teints semble avoir été plus grande en Islande qu’en Scandinavie. Toutefois, la laine blanche, quant à elle, semble n'avoir été laissée que rarement non teinte.

Métier vertical et laines teintées, à Ribe, Danemark - photo par Joëlle Delacroix

  • La soie pouvait faire partie des butins ramenés par les Vikings lors de leurs raids, mais elle a été aussi largement importée grâce aux liens commerciaux qu'ils entretenaient, en particulier avec la Perse et Constantinople, comme en témoignent les découvertes en Norvège à Ness dans la municipalité de Hamarøy (comté de Nordland), à Gokstad (comté de Vestfold), à Sandanger dans le quartier de Sunnmøre, à Nedre Haugen (comté d'Østfold), à Birka à proximité de Stockholm, ou encore la centaine de petits fragments de soie retrouvés dans la sépulture d'Oseberg. Ces derniers sont ornés de motifs liés aux symboles religieux d'Asie centrale, dont un Shahrokh, un oiseau qui, dans la mythologie perse, représente une bénédiction royale. La soie ainsi importée est, pour une partie, tissée en utilisant une technique appelée samite, une méthode de tissage oriental sophistiquée. Beaucoup de pièces de soie ont été coupées en fines lanières, utilisées souvent comme galons pour décorer des habits et des accessoires tels que les chapeaux.

 

  • Le cuir permettait de fabriquer des chaussures, des ceintures, mais aussi des vêtements de pluie à partir de peaux traitées avec de la cire d'abeille pour les rendre lisse et de l'huile de poissons pour les rendre imperméables.

 

  • Les fourrures (ours, rennes, zibelines, martres, écureuils) venaient agrémenter les capes des hommes, les châles des femmes et les couvre-chefs tout en permettant de lutter contre le froid.

 

Les couleurs

La coloration était obtenue en faisant bouillir les matières premières avec diverses plantes.La laine était plus facile à teindre que le lin, les couleurs n'en étant que plus vives.

Couleurs des laines à l'Age Viking

Voici les couleurs majoritairement utilisées d'après les découvertes archéologiques:

  • le jaune provenait probablement de l'oignon, cultivé par les Scandinaves.

 

  • Le bleu provenait soit de la guède, une plante locale, ou de l'indigo un colorant importé. Le bleu n'a été trouvé que dans les sépultures de personnes fortunées, ce qui donne à penser qu'il était probablement une couleur précieuse, à caractère sacré.

 

  • Le violet provenait du lichen pourpre et était essentiellement prisé en Irlande et au Groenland.

 

  • Le vert provenait d'un mélange de guède et d'oignon. La couleur verte n'a été retrouvée qu’en Scandinavie.

 

  • Le rouge provenait essentiellement de la Garance utilisée en France et en Angleterre, et du gaillet odorant, présent en Scandinavie. Le rouge était une couleur très prisée par les Vikings implantés en Angleterre et un marqueur de bonne fortune. Preuve en est, dans la tombe de la fin du Xème siècle d'une riche femme, découverte à Hvilehøj, près de Randers au Danemark, les chercheurs ont trouvé les restes d'une très coûteuse robe en raison de sa teinte rouge, obtenue à partir de Kermes vermilio (ou kermès des teinturiers), plus connu sous le nom de "graine d'écarlate". Il s'agit d'une variété  de cochenilles, une espèce d'insectes hémiptères parasite du chêne kermès qui a peut-être été importée en tant que teinture, à moins que les fils teints de la sorte proviennent directement de la région méditerranéenne.

 

La confection

Les vêtements des femmes

Tenue reconstituée d'une femme viking à Haithabu par Ø. Engedal

La chemise ou sous-robe (serk)

La femme viking portait parfois, en guise de sous-vêtement, une longue chemise de lin qui dépassait de manière ostentatoire sous la robe et dont le col se refermait avec un ruban noué à la base du cou. Selon les chercheurs, celle des femmes danoises était simple, tandis qu'en Suède elle était plissée. 

La robe

La robe, en lin ou le plus souvent en laine, descend jusqu'aux chevilles. Le col, fendu pour mieux passer la tête, pouvait être fermé avec une fibule. Elle avait des manches longues ou courtes selon la saison. Elle pouvait être simple, plissée pour les femmes de haut rang, ou être bâtie avec l'ajout de pans latéraux de forme triangulaire appelés godets pour donner de l'ampleur à la base.

La robe-tablier ou robe suspendue (smokkr)

Généralement en laine, elle était soit de forme tubulaire, soit fendue sur les côtés, ou encore additionnée de godets à partir de la taille (pour accompagner l'ampleur de la robe elle-même). Une robe-tablier du Xème siècle trouvée à Hedeby présente notamment plusieurs techniques de couture sophistiquées.

Plus courte que la robe qu'elle venait en partie recouvrir, la robe-tablier était retenue par des bretelles agrafées en-dessous des épaules avec des fibules dont la forme pouvait varier en fonction des régions et de la période (cf. bijoux ci-après). Souvent teintée, elle pouvait être brodée ou/ et galonnée.

Selon une autre hypothèse, la robe-tablier se composait de 2 rectangles de tissus (devant/derrière), sans couture, avec des bretelles fixées de la même manière. Toutefois, ce type de confection, qui n'a jamais été confirmé par les découvertes archéologiques, s'avèrerait en définitive peu pratique pour vaquer aux tâches quotidiennes. 

Le châle

En laine pour protéger du froid, le châle de forme soit rectangulaire, soit demi-circulaire, était refermé sur la poitrine par une boucle de métal ou maintenu par les broches de la robe-tablier. Ses bordures pouvaient être ornées d'un galon ou de fourrure.

Les accessoires

Dans les zones géographiques christianisées comme Dublin et Jorvik, les femmes vikings semblaient disposer d'une grande variété de coiffes. 

  • Le bandeau était une bande de tissu portée autour de la tête, un peu comme une couronne. Il pouvait être porté seul, ou avec un foulard ou un voile épinglé au bandeau. Le bandeau richement décoré était souvent réalisé en brocart, une étoffe de soie rehaussée de dessins brochés d’or et d’argent (en Suède surtout), voire tissé de spirales de bronze (Finlande). Ce type de bandeau était porté par les femmes des Francs, des Anglo-Saxons, Alamans, Bavarois, Lombards et Wisigoths espagnols. 

 

  • Le foulard était noué sur la nuque et susceptible de redescendre dans le dos en une longue pointe, mais cet accessoire n'est pas attesté comme étant une généralité. Des foulards teints de pourpre avec des franges sont attestés par des découvertes archéologiques.

 

  • Le capuchon était conçu à partir d'un rectangle de tissu avec un arrondi qui tombait dans le dos. Il couvrait la tête et le cou, des attaches permettant de le fixer sous le menton. Des exemples de ce type ont été trouvés à Jorvik (York), notamment en soie avec des attaches de lin. Un similaire à Dublin était fait de laine, plutôt de forme rectangulaire avec une point à l'arrière de la tête.

 

Une hypothèse voudrait que la femme viking ait porté, à l'instar des hommes, une ceinture de cuir à laquelle elle aurait suspendu les clefs des coffres de la maison qui renfermaient les objets de valeur, et une bourse en cuir pouvant contenir de petits ustensiles de la vie quotidienne. Ceci n'a pas été attesté par les découvertes archéologiques, alors qu'il a été démontré que ciseaux, couteau, clefs, cure-oreille ou même de petites boîtes à aiguilles en os pouvaient être suspendus par des chaînettes aux fibules, les rendant de fait rapidement accessibles dans les tâches quotidiennes.

 

Les vêtements des hommes

Tenue reconstituée d'un homme viking à Haithabu par Ø. Engedal

La chemise de corps

La chemise de corps était généralement simple et en lin.

La blouse ou tunique

La blouse était droite et mi-longue, jusqu'à mi-cuisses, mais il en existait également de plus larges portées avec une ceinture. Ces deux types de confection sont attestées par les représentations iconographiques. Le col de la tunique, à l'instar de celui des robes pour les femmes, était fendu pour mieux passer la tête et fermé avec une fibule.

Les manches et le col pouvaient être décorés de galons de soie, de galon tissés en damier avec des fils d'or ou d'argent pour les plus riches, ou brodées avec des motifs. Parfois la tunique était entièrement brodée, à l'instar de la tunique d'un homme âgé découverte dans la tombe de Mammen, à Bjerringhøj, datée de 970/ 971, où sont représentés feuilles d'acanthe, oiseaux, têtes de loup et léopards.

Le pantalon ou la culotte bouffante

Le pantalon, en lin ou en laine, était tantôt long et étroit, tantôt large et bouffant. Il pouvait être resserré par un lien sous les genoux. Les plus riches ornaient volontiers le bas de leur pantalon d'un galon de soie 

La culotte bouffante composait une tenue d'apparat. Celles découvertes à Hedeby étaient même plissées. Elle réclamait le port de bas maintenus par des agrafes ou des lanières d'étoffes formant des bandes molletières dont des restes ont été retrouvés dans pusieurs sépultures.

La cape et le manteau

  • La cape était attachée au  niveau de l'épaule ou sous l'aisselle à l'aide d'une fibule, le plus souvent penannulaire. Elle pouvait être décorée de galons, bordée d'une riche étoffe ou de fourrure. Afin d'assurer une meilleure protection contre le froid, le vent et l'eau, elle était parfois doublée d'une étoffe de laine, voire matelassée de duvet.

 

  • Le manteau, également connu sous le nom de "caftan" ou de "manteau Rus d'équitation," semble avoir été un vêtement d'influence orientale, d'après les découvertes des IXème et Xème siècles faites à Birka. Fermé du cou à la taille par des boutons en bois ou en os, et décoré avec des garnitures métalliques spécifiques et complexes, ce vêtement a été emprunté ou adapté du skaramangion byzantin, qui était un vêtement standardisé à la cour de l'empereur.

 

Les accessoires

Divers couvre-chefs étaient en usage, bonnets de laine mais aussi chapeaux aux formes arrondies, ou avec une pointe, les uns et les autres parfois parés de fourrure et /ou richement décorés de soie, de garnitures en argent ou de passsements d'or et de rubans.

La ceinture, confectionnée en cuir, permettait de fixer à la taille, bourse en cuir contenant tout objet utile au quotidien, des pièces de monnaie aux pièces de jeu, ainsi qu'un couteau ou un scamasaxe. Elle pouvait être simple, ou décorée d'une boucle, d'un mordant et de petits empiècements ouvragés, parfois réalisés dans des métaux précieux.

 

Les chaussures

Unisexes, les chaussures étaient en cuir, parfois composées d'une seule pièce maintenue et fermée par un lacet en cuir, parfois composées de 2 morceaux de cuir auxquels était cousu une semelle.

Certaines chaussure plus fines ont pu être décorées de motifs divers comme le suggèrent des chaussures de la fin du XIIème siècle découvertes dans le quartier de Bryggen, à Bergen (Norvège), ornées de runes brodées le long de l'ouverture jusqu'à la pointe du pied. D'autres encore sont décorées de volutes incisées dans le cuir.

Les vikings utilisaient également des bottes de différentes tailles.

 

 

Les bijoux

Hommes et femmes de toutes les couches de la société portaient des bijoux, sous la forme d'anneaux de bras, de colliers et de broches. D'après les découvertes archéologiques, les Vikings ne portaient pas de boucles d'oreilles. 

Les bijoux pouvaient être fabriqués à partir de divers matériaux tels que le bois, le verre, l'ambre, le cristal, le fer, le bronze, l'argent et l'or. Les bijoux étaient souvent décorés de motifs géométriques, d'entrelacs, de têtes d'animaux et du motif de la bête aggripante.

Les orfèvres scandinaves maîtrisaient tout un ensemble de techniques de fabrication et de décoration, à savoir le moulage, le tréfilage et le tressage, la gravure, le filigrane et la granulation, la ciselure, la niellure, le placage, la verroterie et l'incrustation de gemmes. La seule technique à avoir été absente de leur répertoire est celle de l'émail.

Les bijoux avaient différentes fonctions en tant que:

  • élément de parure,
  • marqueur de statut social ou économique
  • système d'attache pour fermer les vêtements ou fixer des accessoires 
  • symbole de protection ou de croyances
  • moyen de paiement pour les échanges commerciaux.

 

Les amulettes

Les amulettes et divers porte-bonheur étaient portés en sautoir.

L'amulette la plus répandue à l'époque des Vikings est le marteau de Thor, appelé Mjöllnir. Il était principalement en fer ou en argent, mais il en existe aussi en bronze et en ambre. Il y en avait de toutes les tailles. Il y a ceux sans aucun décor, ceux à décor repoussé et ceux ornés de filigrane, sur une seule face ou bien les 2.

Parmi les autres amulettes, se trouvent différentes formes de pendentifs:

  • De forme ronde recouverts de motifs circulaires symbolisant l'astre solaire,
  • En forme d'outils miniatures, symboles d'une activité et de fertilité,
  • En forme de bâtons apparentés aux bâtons magiques (seiðstafr), symboles potentiels du pouvoir souverain attribué au dieu Odin,
  • En forme de sièges cubiques figurant les trônes des principaux dieux, Thor et Odin,
  • En forme d'anneaux qui sont généralement interprétés comme des symboles de souveraineté,
  • En forme de silhouettes féminines qui représenteraient des valkyries, en particulier lorsqu'elles tiennent une corne à la main. D'après une récente étude danoise toutefois, ces pendentifs représenteraient plutôt des femmes et des hommes costumés dans le cadre d'un rituel d'un rituel.
  • En forme de croix et encolpions (pendentifs en forme de reliquaire parfois importés directement de Constantinople) qui ont fait leur apparition avec la christianisation des Vikings.

 

Les fibules

Les fibules ovales, dites "tortues" étaient les plus courantes en Scandinavie mais elles pouvaient être également rondes (Finlande), à tête d'animal (Gotland), en forme de boîte ronde (Gotland) ou trilobées (Danemark).

Les fibules étaient fabriquées en bronze, en argent ou en or.

Elles n'étaient pas uniquement des éléments de parure puisque, portées par paire par les femmes, elles permettaient d'agrafer les bretelles à la robe-tablier, comme d'y fixer des colliers de perles ou d'y suspendre de petits ustensiles de la vie quotidienne (ciseaux, couteau, clefs, cure-oreille, boîtes à aiguilles ...).

Elles étaient aussi des signes ostentatoires de richesse et en ce sens, ont pu atteindre des tailles presque démesurées, formant de véritables boîtes. 

Les fibules penannulaires étaient plutôt utilisées par les hommes pour agrafer leur cape. En fer pour les plus modestes, celles de type irlandais étaient en argent richement décorées de niellures et de filigranes dorés et furent importées en Scandinavie via la Norvège, avant d'être fabriquées en Suède et en Russie.

 

Les perles

Les perles sont présentes dans la plupart des sépultures de femmes mises au jour par les archéologues. Près de 300 perles de verre ont notamment été trouvées à Coppergate, (près de York, en Angleterre), et l'écrasante majorité d'entre elles était d'une seule couleur. D'autres sont travaillées avec des points et des motifs de différentes couleurs.

Les couleurs les plus populaires étaient le bleu, le vert et le jaune.

Des perles en ambre, en os, en bois de cervidé, de coquille et de pierre ont également été découvertes. 

Dans la tombe d'une femme à Hestnes, dans la campagne du sud du Trøndelag en Norvège, les archéologues ont découvert 339 perles miniatures, mesurant 1 et 2 millimètres d’épaisseur, de couleur verte et violette, qui pourrait avoir formé une broderie sur la robe de la femme.

 

Sources

 

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Synthèse et mise en page: Kernelyd. Créé le 10.09.2016 - Mis à jour le 21.09.2022

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Commentaires

  • Asveig
    • 1. Asveig Le 01/07/2020
    Bonjour,

    Auriez vous des sources concernant les différences entre le costume viking et le costume varègue ?

    Merci
    • idavoll
      • idavollLe 02/07/2020
      Bonjour, À ce sujet, je vous recommande de consulter l'excellente page de l'association de reconstitution historique " Sur la route de Byzance": https://www.facebook.com/surlaroutedebyzance/ Ainsi que le groupe d'Entraide reconstit viking: https://www.facebook.com/groups/172748409902860/ En vous souhaitant de fructueuses recherches. Bien à vous
  • Durebuil-Royer
    • 2. Durebuil-Royer Le 29/06/2020
    Bonjour,
    J'aimerais savoir si vous avez eu connaissances que des bandes tissées auraient pu être utilisée en guise de bretelle pour la robe-tablier ?
    • idavoll
      • idavollLe 30/06/2020
      Bonjour, Votre question est pertinente, mais pas à ma connaissance.

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